571 points | RONNIE |
444 points | ZOZEF |
327 points | TITINE |
244 points | HAMLET |
244 points | CINEMIK |
175 points | KENNEBUNKT |
16 points | LIBERTY |
14 points | CYBERFRED |
12 points | DON DIEGO DE LA VEGA |
8 points | DADA |
ODOMAR | |
1 point | CHIEUVROU |
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571 points | RONNIE |
444 points | ZOZEF |
327 points | TITINE |
244 points | HAMLET |
244 points | CINEMIK |
175 points | KENNEBUNKT |
16 points | LIBERTY |
14 points | CYBERFRED |
12 points | DON DIEGO DE LA VEGA |
8 points | DADA |
ODOMAR | |
1 point | CHIEUVROU |
517 points | CINEMIK |
395 points | LASINGLA |
262 points | LEMMY |
243 points | PHILIPPE |
240 points | CYBERFRED |
228 points | BEHEMOTH |
206 points | ZOZEF |
158 points | FRISCO |
144 points | RONNIE |
140 points | TITINE |
96 points | LIBERTY |
92 points | ODOMAR |
81 points | ALBIREO |
72 points | DON DIEGO DE LA VEGA |
34 points | PARTOF |
28 points | BERENGUER |
24 points | ISA |
22 points | JEFF |
20 points | ANONYME |
8 points | ANONYMOUS |
7 points | CHIEUVROU |
2 points | SEAN BULLSHIT |
KENNEBUNKT | |
LOULOUTI-78 | |
VLADIMIR PUTIN | |
PRISENCOLINENSINAINCIUSOL | |
1 point | HAMLET |
QUESTION : Le dernier plan de L’ETAU a été tourné par un réalisateur français. Lequel ?
-- U.G.C. CINE CITE LES HALLES -- Mardi 23 avril 2024, 20h30 |
C’est fou comme les salles de ce plexe sont interchangeables ! Lorsque nous entrons dans la salle 2 nous avons l’impression d’y avoir déjà mis les pieds. Elle ressemble à n’importe quelle autre salle du plexe de moyenne dimension. Ce qui reste quand même assez grand car la salle 2 peut accueillir presque 250 personnes.
Lumières très tamisées, strapontins typiques de l’UG.C. avec dossier en bois, sobriété de la déco, minimalisme… Du faux bobo-chic, peu de personnalité, du consensuel à revendre, bref, pour le charme vous repasserez, mais ça, nous le savions déjà.
Du coup, pas grand-chose à se mettre sous la dent. Un écran de 11 mètres, c’est déjà ça de pris. Une très belle qualité d’image et de son (il pourrait claquer un peu plus ce ne serait pas dérangeant, surtout pour ce genre de film). Les strapontins d’U.G.C. sont toujours aussi inconfortables. Nous sommes très vite en train de changer de position. Notons un boitier lumineux sur la gauche de l’écran, qui invite à la sortie de secours. Il est plutôt discret mais le problème reste qu’il est… présent ! Ce qui est très sympathique c’est que, une fois la porte de sortie empruntée, le (long) couloir qui même au dehors est peint de symboles abstraits ; Et ça, c’est assez rare pour être signalé car, la plupart du temps, les plexes oublient ces endroits qui deviennent peu engageants et nous laissent partir sur une note désagréable. Nous avons souvent droit au mur en gris en ciment même pas peint. Quelle horreur !
A 20h30, en pleine semaine, la salle est quasiment remplie. Et ça boit, et ça mache du pop-corn, et ça regarde son téléphone portable. C’est un public très jeune (c’est la cible du film) qui a quand même la délicatesse d’éviter les bavardages une fois le film commencé. Il n’empêche qu’en fin de projection, le spectacle est apocalyptique. Les rangées sont jonchées de détritus. C’est proprement immonde. Et la direction du plexe a ouvertement renoncé depuis plusieurs années à lutter contre ce fléau. Elle préfère confier une mission ramassage à ses employés (sympa, le job !) qui, bien souvent, enlèvent le plus gros du carnage et essaient de cacher le reste comme ils peuvent. Voilà pourquoi les lumières sont aussi basses dans ces salles. Approchez-vous un jour du pied d’un de ces strapontins, vous comprendrez que la poussière et le ménage laissent terriblement à désirer !
Si encore l’accueil pouvait combler cette lacune, mais même cela n’est pas au rendez-vous. Sur cette séance, il faut attendre que deux personnes du plexe aient fini de discuter entre elles pour que le jeune homme scanne notre billet et nous invite à entrer. Une brève indication en mode automatique pour nous diriger, pas un bonsoir, pas un sourire, même pas un regard dans les yeux, c’est clair nous ne sommes définitivement pas chez madame la baronne !.
Un coup de gueule enregistré en loucedé par l'ingénieur du son Jean-Pierre Ruh sur le tournage de BLANCHE de Walerian Borowczyk :