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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 19:00

JEAN HARLOW

25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 08:00

--  GAUMONT OPERA CAPUCINES  --
----------------  SALLE 5  -----------------

Lundi 20 avril 2015, 16h50
DARK PLACES de Gilles Paquet-Brenner

 

Et voilà qui clôturera le triptyque Gaumont des Grands Boulevards. Ce plexe anciennement Paramount Opéra est devenu la propriété de Gaumont en 2009. Depuis, comme vous pouvez vous en douter, la firme a imposé la décoration et les couleurs qui sont les siennes pour en faire une énième franchise sans originalité de ce point de vue. Et c’est bien dommage que ce lieu ressemble plus à un supermarché qu’à un cinéma car son emplacement, son espace et sa structure en font un lieu au potentiel inexploité. Il y aurait de quoi en faire un endroit vraiment agréable, admirable, mais la politique de Gaumont n’est d’en faire qu’un lieu de passage.
 

Le hall est très grand et s’élance vers un dédale de 7 salles auquel nous n’accédons qu’en passant un étranglement où le personnel contrôle votre ticket devant un personnel de sécurité très visible. Le message est clair et l’irrespect du spectateur manifeste. Dans ce hall, évidemment le stand des sucreries fait étalage de toute sa marchandise, bien avant les caisses.
 

Pour faire passer la pilule, les employés sont éminemment sympathiques. Cela ne fait rien passer du tout puisque c’est leur travail. Au Gaumont Opéra Capucines, les employés sont des comédiens qui apprennent bien leur texte mais dont l’interprétation ne sera pas remarquée par la critique.
 

Si vous n’aimez pas les entrées en grande pompe et que vous préférez vous faire discret, vous aurez droit à un surprenant accueil en pénétrant dans la salle 5. L’entrée se fait sur le côté gauche de l’écran, si bien que vous êtes la cible de tous les regards le temps que vous parveniez à votre place. Heureusement nous sommes plutôt bien installés dans les fauteuils qui sont pourtant des strapontins. Ils nous rappellent les fauteuils fermes du Pathé Wepler. Leur largeur est tout à fait convenable. Et les plus grands bénéficient d’un dossier suffisamment haut pour pouvoir appuyer leur tête sans s’engoncer dans le fauteuil, mais aussi d’un espace qui n’incommode jamais leurs grandes jambes.
 

La salle compte 150 sièges mais, ce jour-là, à peine une quinzaine furent utilisés. C’est dire si la séance s’est déroulée de manière tout à fait paisible, puisqu’en prime nous étions entre personnes de bonne éducation. Pour cela, il est judicieux de noter qu’à contrario du Pathé Wepler, la température ambiante de la salle est parfaite. Je n’ai pas eu l’impression qu’une quelconque climatisation fonctionnait. Et pourtant il commençait à faire déjà chaud au dehors ce 20 avril.
 

Le gros problème de cette salle vient de son écran. Pour commencer, il est trop près des murs qui l’encadrent. Et comme ceux-ci ne sont pas noirs ils sont fortement éclairés lors des scènes lumineuses. Le plafond avec ses bouches d’aération n‘est pas en reste, lui aussi. De taille moyenne, cet écran est très bien adapté pour la forme en rectangle de la salle et sa profondeur peu marquée. Mais il a subi une altération sur toute sa base dont il est difficile d’en établir l’origine. Il est déformé par toute une série de formes saillantes, comme si des objets pointus essayaient de le transpercer depuis l’arrière. C’est très visible sur le côté gauche, un peu moins sur le droit. A part cela, la luminosité est fortement en-dessous du bon ton en vigueur. Ce qui est particulièrement gênant pour ce film dans lequel les scènes sombres sont particulièrement nombreuses, et il est parfois ardu de distinguer ce qu’il s’y passe.
 

D’autre part, les blocs de sécurité sont très lumineux et gâchent une grande partie du plaisir de se trouver dans l’obscurité. Obscurité toute relative, donc. Le premier bloc se trouve sur la gauche au niveau de l’entrée de la salle. Quand vous regardez l’écran, vous l’avez forcément dans votre champ de vision. Parfois on se demande si le bon sens n’est pas une denrée périmée… Le second bloc, toujours sur la gauche est plutôt situé au milieu de la salle, et donc vous y échapperez selon où vous serez placé (plutôt dans les premiers rangs, en l’occurrence).
 

Si la projection n’a pas été perturbée d’aucune sorte par le public, il n’en a pas été de même pour ceux qui sont censés faire que tout se déroule pour le mieux pour les spectateurs. Aux trois quarts du film, un black plutôt baraqué entre dans la salle. Sur le côté de l’écran, donc. Impossible de ne pas le voir puisqu’il arbore une chemise maculée de blanc ! La vivacité de ses neurones ne provoquera probablement pas de tremblement de terre ce soir. En attendant, il vient se planter sur le côté, face au public, pendant 3 secondes, et repart comme il était venu. On peut débattre sur les confiseries, la politesse du personnel ou encore le bon goût de la déco, mais venir perturber si grossièrement une projection sans chercher à masquer le bruit et à se faire le plus discret possible, voilà qui est vraiment indigne d’une salle de cinéma et absolument irrespectueux. D’autant que la configuration de cette salle est telle que, si la sécurité a vraiment besoin d’entrer elle doit être vigilante, plus que dans n’importe quelle autre salle. Une chemise blanche ! Et pourquoi pas des baskets qui clignotent, tant qu’on y est !
 

Mais ce n’est pas fini. Avant le générique de fin et pour les dernières minutes du film, voici notre ami Tipp-ex qui débarque à nouveau et qui vient s’asseoir tranquillement au premier rang, sur la gauche. Dès que le générique de fin (au cours duquel les lumières se rallument, malheureusement) commence à défiler à l’écran, il vient se placer devant la porte d’entrée. Vous vous demandez à quoi sert cet homme-là ? A chaque personne qui tente de repartir par cet accès, il leur signifie que la sortie se fait par les issues de secours en fond de salle. Je ne m’en laisse pas conter et bien qu’ayant scruté tout ce manège avec attention, je me dirige vers lui avec la ferme intention de sortir par où je suis venu. Arrivé à sa hauteur, il me regarde d’un air interrogatif. Avant qu’il n’ait pu dire quoi que ce soir, je lui notifie d’un ton très marmonné, un banal : « Je vais voir quelque chose ». Il ne fait pas le moindre geste et ne manifeste aucune intention lorsque je le dépasse. La question reste donc ouverte : « A quoi sert cet homme ? »

 


 

25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 00:00

24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 19:00

WOODY ALLEN POUR SMIRNOFF

24 août 2015 1 24 /08 /août /2015 00:00
CLASSEMENT
927 points KENNEBUNKT
259 points SAMOM
218 points DADA
210 points JIPE
174 points ZOZEF
172 points RONNIE
116 points TITINE
108 points HAMLET
68 points MAXLAMENACE_89
21 points AKARIZA
19 points GUCHO
18 points ODOMAR
  KSCHOICE
16 points BEHEMOTH
10 points FFX
  LMK
9 points LIMBO
  CINEMIK
7 points TWAITS

 

 

23 août 2015 7 23 /08 /août /2015 19:00

CHAZZ PALMINTERI

23 août 2015 7 23 /08 /août /2015 08:00

------------  PATHE WEPLER  ------------
----------------  SALLE 8  -----------------

Jeudi 9 avril 2015, 17h20
LOST RIVER de Ryan Gosling

 

Cette salle se trouve du côté de l’avenue de Clichy. Place ou avenue, les deux entrées ont des devantures pas franchement glamour. Mais la Place a au moins l’avantage d’avoir une belle entrée et un hall très grand. Ici, tout est étriqué à cause du stand aux sucreries qui annihile toute velléité de décoration qui pourrait rendre ce cinéma attachant.
 

A cette heure-ci, en pleine après-midi, le Pathé Wepler est très calme. Le caissier semble tourner au ralenti et le grand black au contrôle est tout aussi léthargique.
 

Dans la salle, ce n’est guère plus foudroyant. Le film n’a pas attiré grand monde. Une vingtaine de personnes éparpillées dans une salle immense
 

Dès l’entrée, nous sommes saisis par la climatisation imposée par le cinéma. Je veux bien que le printemps arrive et que les températures remontent mais il fait clairement plus chaud dans la rue et, disons-le tout de go, dans cette salle 8 il fait froid. Vu les personnes déjà installées, quelque chose me dit que si je quitte mon manteau je vais passer pour un original. Personnes qui se mouchent, éternuements, quintes de toux, le Pathé Wepler n’aura pas très bien soigné celles et ceux déjà mal en point à leur arrivée. Le Pathé Wepler tue.
 

Garder son manteau pendant la projection ne vous met pas particulièrement à l’aise mais, au moins, j’aurais évité le cancer des bronches. Heureusement que l’on est vraiment bien installé dans les fauteuils. Et comme l’écran est très grand, être parmi les premiers rangs vous permet une belle immersion dans le film. Chose facilitée par une image vraiment très belle, qui épouse tout l’écran sans jamais déborder. C’est vraiment l’attrait majeur de ce plexe. Le son, lui, manque clairement de punch.
 

Un grand avantage à signaler est l’absence de bloc de sécurité lumineux près de l’écran. Par contre, ce dernier est trop proche du plafond et l’éclaire inévitablement lors des scènes plus lumineuses.
 

Notons un téléphone qui sonne lors du premier quart d’heure du film.
 

Pendant le générique de fin, l’irrespect caractéristique du Pathé Wepler ne manque pas de frapper et, comme attendu, la lumière de la salle se rallume. Et un jeune homme commence à arpenter les rangées avec son grotesque sac poubelle. Faire en sorte que les spectateurs suivants aient droit à une salle propre, voilà qui est une bonne initiative. Mais pourquoi se précipiter dans la salle alors que la prochaine séance n’est pas pour tout de suite, qu’il y avait très peu de personnes dans la salle et qu’aucune n’a mangé pendant le film ?
 

La révolution n’est pas pour tout de suite au Pathé Wepler !

 


 

23 août 2015 7 23 /08 /août /2015 00:00

22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 19:00

TAKE ONE FALSE STEP

(William Powell et Shelley Winters)

22 août 2015 6 22 /08 /août /2015 00:00
CLASSEMENT
936 points KENNEBUNKT
259 points SAMOM
218 points DADA
210 points JIPE
174 points ZOZEF
163 points RONNIE
116 points TITINE
108 points HAMLET
78 points MAXLAMENACE_89
21 points AKARIZA
19 points GUCHO
18 points ODOMAR
  KSCHOICE
16 points BEHEMOTH
10 points FFX
  LMK
9 points LIMBO
  CINEMIK
7 points TWAITS