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1 novembre 2021 1 01 /11 /novembre /2021 19:19

GAUMONT PARNASSE
(COTE MONTPARNOS)
---------------  SALLE 20  ---------------

Dimanche 31 octobre 2021, 19h00
VERDENS VERSTE MENNESKE de Joachim Trier

 

Direction la vingtième et dernière salle de ce plexe divisé en 3 bâtiments.
 

Il est presque 19 heures, il n’y pas grand monde à l’entrée, et pourtant dès que nous entrons et que nous commençons à nous diriger vers notre salle, la première chose qui choque est la saleté du lieu. La journée n’est pas terminée et le sol est maculé de popcorn et de quelques papiers. Quel endroit vraiment atroce ! Cette moquette qui recouvre le sol se veut chaleureuse mais elle n’est que repoussante. Elle paraît vieille, poisseuse, crasseuse. On dirait que le popcorn par terre est devenu une banalité qui ne requiert même pas qu’on le ramasse. Comme si du popcorn sur le sol cela faisait plus salle de cinéma. A vrai dire, je ne pense plus que ce sont les spectateurs qui se comportent comme des gorets. Je crois plutôt que ce sont les directeurs de salle qui sèment du popcorn directement avant chaque séance. Si ce n’est pas le cas et qu’on me prouve que ces personnes trouvent normal d’avoir du popcorn sur leur sol, c’est-à-dire même dans leur propre maison, alors je vous promets que j’arrêterait tout net de m’indigner face à cela.
 

Aucun effort de décoration. Toute velléité a été remplacée par des écrans LED en trop grand nombre. Tiens, c’est rigolo, on y annonce l’avant-première du film SI ON CHANTAIT pour le lundi 2 novembre. Quelques secondes plus tard, une autre annonce pour la même avant-première donne rendez-vous pour le samedi 2 novembre. Dans la vraie vie, le 2 novembre tombe un mardi.
 

L’entrée se fait par le fond. La salle est de dimension assez moyenne mais l’écran est plutôt grand.
 

Le confort n’est pas vraiment de mise. Nous sommes sur des strapontins et, chose à laquelle je n’avais jamais prêté attention, les accoudoirs sont vraiment très mous. Qui plus est, ils ne s’étendent pas jusqu’au dossier (ce qui peut être gênant pour ceux qui aiment croiser les mains près du corps tout en ayant leurs coudes appuyés). Mais le fait est que les sièges ne sont ni trop mous ni trop durs et pourtant ils ont une ergonomie qui n’est vraiment pas agréable. Ainsi, lorsqu’on appuie le dos sur le dossier, il est évident que le relief et la courbure ne sont vraiment pas bien adaptés à la forme du dos. Etrange. C’est plutôt rare une telle mauvaise combinaison.
 

Nous ne coupons évidemment pas au sacré saint bloc lumineux, cette fois situé en bas à gauche de l’écran. Il indique la sortie de secours pendant toute la projection et éclaire plus que de raison. Smiley triste.
 

Pour du 19 heures un soir d’Halloween, le public s’est très bien tenu. Et il a eu le bon goût de ne pas se déguiser.
 

La projection m’a semblé manquer légèrement de contraste, mais ce n’est qu’un point de détail, vraiment pas dérangeant. En revanche, il y a un vrai problème sonore dans cette salle. Les enceintes génèrent un souffle continu. Pour le coup, là, c’est vraiment très gênant. Cela se remarque aisément dans les moments les plus calmes à l’écran, et c’est particulièrement évident dans les silences.
 

Les lumières se rallument bien évidemment pendant le générique de fin. Les spectateurs ne sont pas tous sortis qu’une personne commence à ramasser les détritus dans les rangées. Air connu. Au moins elle n’a pas un gros sac poubelle noir comme c’est souvent le cas chez Pathé.
 

Vous l’aurez compris, au Gaumont Parnasse (côté Montparnos) tout reste encore à faire. Je ferais partie d’une quelconque commission de sécurité, je ferais fermer ce lieu sur-le-champ.

 


 

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