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21 décembre 2021 2 21 /12 /décembre /2021 20:00

BERNADETTE LAFONT

21 décembre 2021 2 21 /12 /décembre /2021 15:30

GAUMONT PARNASSE
(COTE PARNASSE)
---------------  SALLE 4  ---------------

Lundi 20 décembre 2021, 19h30
GHARHEMAN d'Asghar Farhadi

 

Allez ! On se fait violence et on retourne dans une salle inexplorée du moins ragoûtant des plexes parisiens. Titre amplement mérité, et pourtant difficile de deviner ce qui se cache à l’intérieur tant sa façade ne laisse rien paraître. Elle incite même à rentrer dans ce hall spacieux toujours aussi mal exploité. Pire : les vigiles contrôlent les passes sanitaires à trois mètres des portes d’entrée, ce qui provoquent un petit embouteillage lorsque les clients passent leur temps à chercher leur sésame sur leur smartphone, ou que les vigiles ne sont pas assez rapides. Certains clients sont obligés d’attendre sur les escaliers, voire sur le trottoir, la porte vitrée reste ouverte laissant rentrer le froid, bref, encore une bien belle organisation !
 

Toujours le même supplice de vagabonder dans ce plexe. Il y règne aujourd’hui un drôle de bazar. Pas mal de passage, du coup beaucoup de bruit. L’accueil est toujours réduit au strict minimum, le personnel semblant toujours très affairé. Et la propreté du lieu ne s’améliore décidément pas. Voire empire. Le laisser-aller est total. Du popcorn partout par terre. Immonde. Il empli les rainures de l’arrivée de l’escalator. La moquette est sale et usée. La décoration est réduite à son minimum. Rien d’un tant soit peu avenant, et je ne parle même pas de quoi que ce soit en rapport avec le cinéma. Le plexe est définitivement fonctionnel et absolument pas accueillant. Le labyrinthe des salles n’a plus rien à voir avec les espaces ludiques du hall.
 

L’entrée de la salle 4 se fait par une porte située à la gauche de l’écran. Non seulement tout le monde vous voit arriver mais, en plus, elle attire forcément votre attention lorsqu’elle s’ouvre en plein milieu du film et qu’une jeune femme semble chercher quelqu’un à l’intérieur (ou peut-être bien qu’elle s’est tout simplement trompée de salle). C’est aussi au-dessus de cette porte que nous retrouvons le bloc lumineux commun à tous les plexes et qui nous prive d’une obscurité totale. L’autocollant vert indiquant la sortie est fendu et légèrement cramé, comme si l’ampoule était trop proche ou trop puissante.
 

De dimension moyenne, cette salle peut accueillir jusqu’à 115 personnes. Mais nous ne serons même pas 50, ce qui donne déjà l’impression qu’elle est bien remplie. Je rappelle que le Gaumont Parnasse (côté Parnasse) a lui aussi mis en place cette aberrante pratique qui oblige à choisir sa place lors de son achat. Si votre place ne vous convient pas une fois installés, vous pourrez bien sûr changer, mais il ne vous restera pas les places de choix si la salle est aussi remplie que ce soir.
 

A part ça, il faut bien se rendre à l’évidence : cette salle sent le vieux. Les fauteuils sont des strapontins qui doivent dater des années 80. Leur assise est loin d’être confortable. Nous sentons parfaitement dans le bas du dos, la jointure entre le siège et le dossier. Nous sommes loin des derniers plexes construits qui ont au moins la prévenance du confort pour étendard. Ici, deux heures de film sont une vraie torture chinoise. La mousse, elle aussi, a fait son temps. Le dossier n’est pas très grand. Il se termine au milieu du dos pour les plus grands d’entre nous. Difficile donc d’être à l’aise avec de grandes jambes, le dossier de devant étant très proche par ailleurs. Le rouge des fauteuils est particulièrement délavé, terni par les années ou caché sous la poussière qui semble les imprégner. Qui plus est, une fois installés, nous avons l’impression de ne pas être suffisamment droit, plutôt inclinés vers l’arrière. Faut aimer.
 

L’écran a une dimension plutôt correcte pour une salle de cette taille. Pas de défaut à constater. Pourtant, vu le constat que nous venons de faire, nous aurions pu croire que l’accumulation de poussière aurait contribué à faire naître des ombres suspectes sur l’écran. Il n’en est rien. Le problème est autre. Encore une fois, c’est la luminosité qui est en cause. Elle est faible comme je l’ai rarement vue dans un plexe. Si faible qu’elle crée un effet de somnolence. Je ne sais pas si c’est la lampe du projecteur qui est en fin de vie ou si c’est vraiment pour faire des économies, mais c’est un défaut majeur à régler au plus vite. Un plexe d’une telle vétusté devrait au moins faire l’effort de compenser cela par une qualité de projection irréprochable. Et la place est à 14, 10 euros ! Oui, vous avez bien lu : 14,10 euros pour ça, c’est proprement scandaleux.
 

Ajoutons, pour terminer, que les lumières se rallument brutalement dès la première seconde du générique (nous sommes pourtant là dans du pur cinéma d’auteur) et la coupe est pleine, n’en jetez plus, le Gaumont Parnasse (côté Parnasse) n’a rien pour lui. C’est un plexe du monde ancien de l’ancien monde et qu’il serait urgent de rénover. Ou alors il est urgent de ne plus s’y rendre.

 


 

21 décembre 2021 2 21 /12 /décembre /2021 14:55
CLASSEMENT
229 points CINEMIK
205 points LASINGLA
197 points RONNIE
163 points LEMMY
146 points ZOZEF
140 points CYBERFRED
138 points TITINE
106 points ODOMAR
99 points FRISCO
98 points BEHEMOTH
92 points PHILIPPE
66 points LIBERTY
62 points ANONYMOUS
61 points ALBIREO
50 points BERENGUER
49 points ISA
41 points JEFF
16 points ZELDER
5 points HAMLET
  PARTOF
3 points CHIEUVROU
2 points KENNEBUNKT
1 point JOE GILLIS

 

 

QUESTION : Quel acteur a reçu la croix de guerre 1939-1945, la médaille militaire, a été fait chevalier de la Légion d’honneur (puis officier), mais aussi officier de l’ordre national du Mérite ?

 

21 décembre 2021 2 21 /12 /décembre /2021 01:00

20 décembre 2021 1 20 /12 /décembre /2021 20:00

            Après la mort de Tyrone Power, Brynner arriva à Madrid pour reprendre le rôle de Salomon. Inspiré sans doute par la grandeur du rôle, il débarqua accompagné de sept personnes. La mission d’un des membres de cette suite semblait consister exclusivement à placer des cigarettes déjà allumées entre les doigts que lui tendait Brynner. Un autre s’occupait en permanence de raser son crâne avec un rasoir électrique au moindre soupçon d’une ombre bleuissant cette noble tête. Pendant qu’on était ainsi aux petits soins pour lui, Brynner demeurait assis dans un silence de sphynx, portant avec splendeur des costumes de cuir noir ou des costumes de cuir blanc (il en possédait douze de chaque) confectionnés spécialement pour lui par Christian Dior.

            Je ne découvris jamais quelles étaient les tâches des cinq membres restants de son état-major, mais nul doute que leur travail à eux aussi ne fût essentiel. Il me faut admettre que je ne me suis jamais senti particulièrement mal loti du fait que je devais allumer moi-même mes cigarettes – mais tout de même, je fus impressionné. J’en suis venu à la conclusion que Brynner est un type particulièrement sagace ; il possède une seule et très intense expression qu’il utilise tout le temps à l’écran, et une seule expression intense est plus utile à une star qu’une douzaine de visages différents. S’il est une chose que le cinéma m’a enseignée, c’est que cela rapporte de laisser la caméra jouer à votre place. Quel que soit le contenu dramatique d’une scène, un gros plan de la star avec un regard intense fait toujours un gros effet. Ce qui vient avant ou après n’a pratiquement pas d’importance.

            L’important, pour une star, est d’avoir un visage intéressant. Inutile de le faire bouger beaucoup. Le montage et le travail de caméra provoqueront toujours la nécessaire illusion qu’une performance d’acteur a été effectuée.

            Si je semble ici mordre la main qui m’a nourri de façon très satisfaisante durant près de vingt-cinq ans, c’est parce que le fait de jouer dans les films ne m’a jamais follement enthousiasmé. En tant qu’art, c’est un peu comme le patin à roulettes ; une fois qu’on sait s’y prendre, ce n’est pas particulièrement stimulant pour l’intellect ; ce n’est pas très excitant ; c’est beaucoup de boulot ; et cela prend beaucoup d’un temps qui pourrait être mieux employé ailleurs.

            Au cas où vous me demanderiez comment je pourrais employer mon temps de façon plus profitable, je ne pourrais que répondre : en ne jouant pas. Ne pas être un acteur est, je pense, une ambition des plus louables, que beaucoup de jeunes gens feraient bien d’acquérir. Le vrai problème dans la profession d’acteur est qu’on attend de vous que vous soyez bon. Cela convient à ces fanatiques qui désirent impressionner la postérité, ou à quiconque ayant la chance d’être dépourvu de la perspicacité critique qui l’informerait de son degré de réelle nullité.

            Étant une personne d’un goût des plus raffinés, j’encours continuellement ma propre désapprobation, puisque mes standards sont trop élevés pour que ma performance puisse jamais s’en montrer digne. J’exige la perfection, mais ne puis que produire la médiocrité.

            Penser que des acteurs encore plus médiocres que moi sont célébrés comme de grands artistes ne m’offre aucune satisfaction particulière.

 

George Sanders, MEMOIRES D'UNE FRIPOUILLE, Presses Universitaires de France, mai 2004 (parution originale : 1960).

20 décembre 2021 1 20 /12 /décembre /2021 01:00

19 décembre 2021 7 19 /12 /décembre /2021 20:00

VIRNA LISI

19 décembre 2021 7 19 /12 /décembre /2021 09:54
CLASSEMENT
228 points CINEMIK
204 points LASINGLA
196 points RONNIE
162 points LEMMY
146 points ZOZEF
139 points CYBERFRED
138 points TITINE
106 points ODOMAR
99 points FRISCO
97 points BEHEMOTH
91 points PHILIPPE
66 points LIBERTY
62 points ANONYMOUS
61 points ALBIREO
50 points BERENGUER
49 points ISA
41 points JEFF
16 points ZELDER
5 points HAMLET
  PARTOF
3 points CHIEUVROU
2 points KENNEBUNKT
1 point JOE GILLIS

 

 

QUESTION : Au début de ce film, leur petite fille meurt étouffée en mangeant une pomme lors de son petit-déjeuner. Qui est ce couple ?

 

19 décembre 2021 7 19 /12 /décembre /2021 01:00

18 décembre 2021 6 18 /12 /décembre /2021 20:00

 

Affiche censurée à Taïwan en 2012, en raison du sentiment de terreur généré :

 

BIAN YANG JI