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18 mai 2019 6 18 /05 /mai /2019 00:07

17 mai 2019 5 17 /05 /mai /2019 19:00

LETTRE DE MICHAEL POWELL

17 mai 2019 5 17 /05 /mai /2019 00:00
CLASSEMENT
830 points ZOZEF
701 points KENNEBUNKT
195 points RONNIE
82 points CINEMIK
57 points HAMLET
48 points TITINE
35 points DADA
18 points ODOMAR
14 points CYRILLE
8 points SAMOM
7 points JIPE
  RASPOU

 

 

16 mai 2019 4 16 /05 /mai /2019 19:00

INGMAR BERGMAN

(Ingmar Bergman)

16 mai 2019 4 16 /05 /mai /2019 00:17

15 mai 2019 3 15 /05 /mai /2019 19:00

BACALHAU

15 mai 2019 3 15 /05 /mai /2019 16:14

---------  U.G.C. NORMANDIE  ---------
---------------  SALLE 1  ---------------

Mardi 14 mai 2019, 19h00
THE DEAD DON'T DIE de Jim Jarmusch

 

                Quelle drôle de coïncidence ! Notre dernière venue en ce lieu remonte à décembre 2016, c’était pour le dernier film de Jim Jarmusch : PATERSON. Mais nous n’avions pas eu alors les honneurs de la grande salle. Qu’à cela ne tienne, voilà de quoi y remédier de la plus belle façon. Nous avons revêtu notre smoking de rigueur et débarquons sur les Champs-Elysées avec notre splendide véhicule que nous avons loué pour l’occasion. Nous sommes invités pour la cérémonie d’ouverture du festival de Cannes, qui sera suivie de la projection en avant-première du nouveau film de Jarmusch. Mais force est de constater que l’U.G.C. Normandie n’a fait les choses qu’à moitié. Dès notre arrivée, aucun photographe, aucun tapis rouge, aucune marche à monter. Par contre, il y a beaucoup de passage devant cette entrée.
 

Alors là, il convient de ne pas se tromper. Le Lido et l’U.G.C. Normandie partagent la même entrée. A droite, c’est paillettes et plumes d’autruches. A gauche, c’est la Croisette, les starlettes, champagne et montagnes de cocaïne. Entre le glamour et Patrick Sébastien, le choix est vite vu. Nous contournons tant bien que mal les groupes qui s’agglutinent devant les bornes automatiques (et qui bloquent l’entrée), oui, celle de gauche, celle qui va bien, stairway to heaven. Pas de doute possible, un vigile en smoking se tient là et semble savoir diriger les spectateurs si on ne se fie pas à ce qu’il dit : « Pour les personnes sur les listes, c’est à droite, la file de gauche ». Cet homme est ivre, manifestement. Et pourtant, son raisonnement est sensé. Il y a bien deux files à l’entrée du plexe et l’une des deux mène forcément à destination. Impossible de le prendre en faute sur ce coup-là. Bien joué de sa part ! Mais ce n’est pas très Cannes, me dis-je en rongeant mon frein dans la file d’attente. Celle de gauche, puisque nous avions d’abord commencé par celle qui se trouve à droite dans l’entrée à gauche. Si vous ne connaissez pas ce plexe et que vous n’avez que votre imagination pour vous repérer d’après cette brève description, vous vous dites très certainement que cette entrée de plexe est la plus foutraque qui soit au monde. Je ne peux qu’abonder dans votre sens. C’est n’importe quoi. D’autant plus que pour atteindre les caisses où siègent deux charmantes jeunes femmes, il faut passer devant une autre caisse qui est fermée. Ce qui explique pourquoi il faut attendre environ 5 minutes pour pouvoir se faire délivrer les sempiternels immondes billets U.G.C. qui vont nous permettre maintenant de passer dans la file de droite ! Heureusement, tout le personnel est aimable et souriant. Très serviable. Très professionnel. Très Cannes. Enfin, je suppose car je n’y suis jamais allé. Mais d’après ce qu’en dit Laurent Weil à la télévision, il ne peut en être autrement.
 

Voilà. Nous pouvons désormais nous diriger vers la salle 1. Vers le film de Jarmusch. Vers cette folle soirée. Vers Cannes, le festival, toute cette pression… Nouvelle faute de goût de l’U.G.C. Normandie : en lieu et place des célèbres marches, nous nous retrouvons face à un escalator. Sûrement une coupe budgétaire ou un quelconque progrès de la technologie. Enfin, bon, ce n’est déjà plus très Cannes !
 

Devant l’entrée de la salle, une sorte de photo-call est organisée et distribution pour tous d’affiches petit format du soixante-douzième festival. Nous sommes là dans un petit hall où les portes de la salle 1 nous sont ouvertes et, face à elles, la salle 2 gardera encore son mystère pour aujourd’hui.
 

L’entrée dans la salle 1 est des plus faciles. Moi à qui on avait dit que Cannes c’était surtout d’interminables files d’attente pour voir un film ! Cette salle est formidablement grande. Pas loin de 1000 fauteuils à vue de nez. Et de vrais fauteuils qui allient souplesse et robustesse. Il manque un peu de hauteur au dossier pour pouvoir être totalement à l’aise pour l’appui de la tête, mais globalement le confort est là, avec de la place pour les grandes jambes.
 

Nous notons que cette salle est l’une des rares à ne pas avoir de bloc lumineux situé près de l’écran. Une très bonne initiative qu’il convient de saluer !
 

Alors, bien sûr, pour accéder au film il va falloir se taper la retransmission de la montée des marches en direct de Canal +, suivie de la traditionnelle cérémonie d’ouverture (heureusement qu’Edouard Baer a lâché les chevaux au fur et à mesure, mais, quand même, nous sommes loin du compte). Le bon côté de la chose c’est qu’il n’y aura pas de bandes-annonces ni de publicités (excepté les annonces des sponsors télévisuels).
 

Une heure après, le film débute enfin. Qualité de projection au top sur un écran de belle envergure. Disons de manière approximative : 20 mètres d’ouverture. Un écran légèrement incurvé qui se fond bien dans la forme ovale de cette salle. Soulignons la superbe gestion des contrastes et des couleurs. Bel effort sur le son. L’environnement sonore est très emmitouflant. Bonne balance. Bons niveaux. Rien à dire d’un point de vue technique. Tout est fait pour une projection optimale.
 

Sur le public présent ce soir-là, et plus particulièrement sur le nombre de personnes dans la salle, il est à noter un ratio incroyablement bas de personnes ayant fait usage de leur téléphone portable au cours de la projection. A deux fauteuils de nous, un homme a regardé l’heure sur son smartphone dont la luminosité était visiblement bloquée sur son maximum. Juste derrière nous, un autre homme a fait tomber son verre pendant la projection. Celui-ci s’est inévitablement brisé en plusieurs morceaux sur lesquels il fallait faire attention de ne pas marcher en sortant. Belle stupidité des organisateurs que d’avoir autorisé les verres à l’intérieur de la salle, Cannes ou pas.
 

La sortie s’effectue par une des deux portes d’entrée, le tout dans une fluidité apparente, même si les toilettes qui se trouvent non loin génèrent un amas de personnes assez conséquent juste devant leur entrée. Dans ce flux, nous en profitons pour remarquer la belle épaisseur de la moquette posée dans ce hall, chose qui nous avait échappée à l’aller. Elle dénote d’un effort certain pour tenter d’élever au-dessus de la moyenne le standing de cette salle. Et malgré quelques portraits d’acteurs sur les murs de ce hall, rien ne définit ce lieu comme un espace dédié au cinéma. Rien ne le rend convivial et fédérateur. Estimons-nous contents, déjà, qu’il soit chaleureux. On appelle cela un succédané. A LA LUMIERE VIENT DU FOND, nous avons un mot très laid et indistinct qui résume bien ces qualificatifs. Nous appelons cela un plexe.

 


 

15 mai 2019 3 15 /05 /mai /2019 00:08

14 mai 2019 2 14 /05 /mai /2019 20:00

            Le classement provisoire :

 
ZOZEF 1795 POINTS
TITINE 1411 POINTS
DADA 1331 POINTS
CINEMIK 1327 POINTS
ODOMAR 1023 POINTS
RONNIE 973 POINTS
 
 
 

            Voici les oppositions pour cette sixième journée :

DADA vs. ZOZEF
ODOMAR vs. CINEMIK

TITINE vs. RONNIE.

            Les commentaires sont modérés. Ils ne peuvent être laissés qu'entre 20 heures et 08 heures. Tout commentaire laissé en dehors de ces horaires sera irrémédiablement détruit.

            Un seul commentaire pour chaque personne. Fin de la journée et donc des propositions : le 21 mai à 08 heures.

 

 

            Et les questions :

 

1. 2018 : ces films sont sortis en France l'année dernière. Retrouvez leur titre (1 point pour chaque image)

1.



2.



3.



4.



5.



6.

 

 

2. DEVOIR DE MEMOIRES (1 point)

Prologue

 

            Je suis dans une petite chambre d’hôpital à Rome; mon père est en train de mourir. Je m’assieds à côté de lui sur le lit, sa main qui ne se réchauffe plus dans la mienne. Il y a quatre autres personnes dans la pièce; toutes ont le regard fixé sur sa lente agonie. Ma mère, qu’il a séduite et abandonnée; ma sœur, qu’il a terriblement fait souffrir en refusant de lui donner son nom; un jeune homme, Giuseppe, l’un des enfants illégitimes qu’une femme qui, elle, n’est pas là; Carol, une petite blonde, l’Allemande avec qui mon père a vécu les dix dernières années de sa vie.

            Il agonise, et je suis là et je pense. Malgré sa volonté de dire non à tout, son refus de ce que nous voulions lui apporter, mon père a réussi à rassembler dans cette pièce une famille. Il m’a liée, affectivement, à des étrangers.

            Je pense. Il a si longtemps été pour moi une cause se souffrances et d’humiliations, je me suis si souvent sentie rejetée, et pourtant : au moment où sa vie s’achève, quels que soient les sentiments que j’aie pu éprouver à son égard, ils sont gommés, lavés par une vague de pitié. Et une lueur d’amour a filtré tant bien que mal à travers la grisaille de nos rapports passés.

            Pitié et amour.

            Je l’ai vu si peu, il a refusé si souvent de m’aider alors que je n’en pouvais plus et que je menaçais de tout lâcher – et pourtant, sans que je comprenne pourquoi, il a représenté dans ma vie un élément de force. Si je regarde en arrière, je vois que l’histoire de ma vie doit commencer et finir avec mon père. Je l’ai cherché partout, je l’ai épousé, c’est avec lui que j’ai fait mes meilleurs films, j’ai cherché à lui plaire, je me suis assise sur ses genoux, je me suis blottie contre lui.

            Et pourtant, combien de fois l’ai-je vu ? Une fois quand il est venu à Pozzuoli et m’a apporté une petite voiture bleue. Une fois au tribunal. Une fois vers la fin de sa vie, quand je suis allée le voir chez lui. Quelques rencontres isolées, c’est tout. Mais il a dominé mon existence.

            Maintenant qu’il vit ses derniers instants, et malgré tout ce qu’il y a eu de pénible entre nous, je sais qu’il a été un père, mon père. Peut-être n’est-ce qu’une illusion, une de ces déformations dues à l’approche de la mort. Peut-être aussi qu’en réfléchissant à ce que fut ma vie, en évoquant les événements et les émotions d’un temps déjà lointain, je découvrirai ce qu’il en fut vraiment. De lui.

            Et de moi.

 

 

3. A LA BONNE HEURE : retrouvez le titre de ces 10 films (1 point par bonne réponse)

1.



2.



3.



4.



5.



6.



7.



8.



9.



10.

 

 

4. BLIND TEST (1 point pour chaque extrait)

1.
 
 
2.
 
 
3.
 
 
4.
 
 
5.
 

 

 

5. L'ERREUR : trouvez l'erreur qui se cache sur cette affiche originale du film AU BOUT DE LA NUIT (pour 1 point)

L'ERREUR

 

 

6. LA SEQUENCE DU SPECTATEUR (1 point)

 

 

7. LA SURPRISE DU CHEF : trouvez les personnages qui portaient ces costumes (pour 2 points)

LA SURPRISE DU CHEF

 

 

8. REPLIQUE (3 points)

Les serrures c’est comme les jolies femmes. Pour bien les connaître faut les pratiquer.

 

 

9. STEP BY STEP : remettez ces images dans l'ordre chronologique du film ELEPHANT MAN (2 points pour la bonne combinaison)

1.



2.



3.



4.



5.



6.



7.

 

 

10. THE LAST ONE (2 points)

THE LAST ONE

14 mai 2019 2 14 /05 /mai /2019 19:00

EDIE SEDGWICK