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22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 20:00

YUL BRYNNER

22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 10:58

QUESTION : Dans quels films Jean Gabin incarne le commissaire Maigret ?

 

22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 09:00

------------  MK2 PARNASSE  ------------
---------------  SALLE 3  ---------------

Lundi 18 janvier 2016, 16h15
EL ABRAZO DE LA SERPIENTE de Ciro Guerra

 

                La dernière fois que je suis venu dans ce plexe, je lui ai donné le label bien mérité de « plexe le plus sale de Paris », tant il semblait presque laissé à l’abandon. C’était il y a quelques années, et il faut bien avouer que tout cela a bien évolué depuis. Bien qu’un peu défraîchi, l’endroit est mieux tenu que d’autres plexes à la renommée pourtant plus prestigieuse. Quelques parties du couloir attendent d’être repeintes, certes, mais le reste du plexe n’a plus rien de répugnant.
 

Sa particularité, celle qui saute éminemment aux yeux, c’est son étroitesse, son caractère exigu, son manque d’espace. Tout est étriqué, confiné, chaque recoin étant exploité au mieux, aucune perte de place tolérée. Pas de stand confiserie mais une sorte de petit réfrigérateur face à vous dès que vous poussez la porte d’entrée. Les toilettes n’acceptent qu’une seule personne, ce qui peut faire naître une file d’attente conséquente à la sortie de la salle.
 

D’abord, le MK2 Parnasse se situe dans une petite rue retirée de l’agitation du quartier. Une petite entrée, un hall réduit au minimum, une caisse toute étroite tenue par un jeune homme très poli. L’entrée de la salle se fait par la gauche. Il faut descendre quelques marches, passer par un couloir où la promiscuité promet des rencontres peu farouches, et surtout il ne faut pas être claustrophobe !
 

Le petit plus qui fait plaisir : le ticket, tout vilain qu’il est, permet de bénéficier d’une entrée gratuite pour l’exposition « Anselm Kiefer, l’alchimie du livre » à la bibliothèque François Mitterand.
 

La salle 3, toute en longueur, n’est pas très grande. Elle est composée de 9 rangées de 5 sièges. L’écran n’est pas bien grand lui non plus. Et 10 curieux sont venus découvrir ce film venu d’Amérique Latine.
 

Sur le mur de gauche, des noms de réalisateurs ont été inscrits au pochoir. Les lumières sont des petites LED orientées vers ces inscriptions. Presque nous dirions qu’il s’agit d’une salle faite maison. Cela lui donne le charme du confiné, l’élégance du moins-que-parfait. Par contre, plusieurs paires d’énormes enceintes défigurent les murs de manière symétrique. On ne voit que cela !
 

La qualité de l’image est plutôt correcte même si les noirs manquent de profondeur, mais rien de bien gênant. La luminosité manque de pêche mais, là aussi, cela reste dans la moyenne de ce qu’on constate généralement dans les plexes. Je conseille tout de même de se mettre dans les premiers rangs pour ne pas subir les limites d’un écran trop petit. En plus, il est surélevé, ce qui vous permet d’avoir la tête légèrement en arrière en le fixant, ce qui est le propre du cinéma, comme dirait notre bon ami Jean-Luc Godard.
 

Le son, lui, mériterait d’être boosté. Le film souffre d’un volume sonore trop faible, ce qui n’est pas à mettre sous le compte du huitième rang que je squattais. Il est véritablement réglé trop bas.
 

Mais le défaut le plus incommodant ce sont les blocs lumineux qui ornent la salle aussi bien à gauche qu’à droite. Le plus visible, à droite sous l’écran, indique en très gros, la sortie de secours. Evidemment, son reflet mordoré envahit cette partie de l’écran lors des scènes sombres. Et puis, d’autres blocs qui n’indiquent rien, si ce n’est qu’ils ne font de la lumière que pour le plaisir de signaler qu’ils fonctionnent, parcourent le haut des murs et éclairent considérablement la salle. Même la porte d’entrée de la salle laisse passer la lumière qui émane du couloir. Tant et si bien que la salle est baignée dans une luminosité intolérable pour quiconque souhaite regarder un film dans l’obscurité. Si bien que j’arrivais à discerner la couleur rouge des strapontins, plusieurs rangées devant moi.
 

Mais là où tout cela tourne à l’absurde c’est pendant les bandes-annonces. LED et boitiers lumineux diffusaient tellement de lumière que tout ce qui se passait à l’écran était péniblement reconnaissable. Et puis, pour finir, film d’auteur ou pas, les LED se sont tout de même rallumées pendant le générique de fin. Tant pis pour nous.
 

A noter dans le public, une personne qui se tient toujours bien (c’est moi), un couple de personnes en âge avancé (qui a un peu discuté pendant le film), et une jeune femme aux proportions généreuses qui a allègrement dévoré son palmier acheté plus tôt dans une boulangerie (vous savez, avec le papier qui crisse dès qu’on le touche). Non, je ne suis pas pour qu’on interdise de manger dans les salles de cinéma, mais je n’aurais rien contre un peu plus de civilité. La même que dans les théâtres, ce n’est pas grand-chose mais c’est déjà beaucoup.

 


 

22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 01:57

22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 00:43

QUESTION : Pourquoi Pierre Richard a une chaussure noire dans LE GRAND BLOND AVEC UNE CHAUSSURE NOIRE ?

 

21 janvier 2016 4 21 /01 /janvier /2016 20:00

FRANKENSTEIN

(Boris Karloff et Colin Clive)

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QUESTION : A qui est dédié le film JE T’AIME MOI NON PLUS ?

 

20 janvier 2016 3 20 /01 /janvier /2016 20:00

JOHN BELUSHI

20 janvier 2016 3 20 /01 /janvier /2016 01:03
CLASSEMENT
1121 points KENNEBUNKT
275 points ZOZEF
213 points DADA
210 points SAMOM
197 points RONNIE
182 points JIPE
131 points TITINE
107 points HAMLET
59 points MAXLAMENACE_89
19 points GUCHO
18 points ODOMAR
16 points BEHEMOTH
13 points AKARIZA
10 points FFX
  LMK
9 points LIMBO
  CINEMIK
7 points TWAITS