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4 mai 2007 5 04 /05 /mai /2007 16:31

JEAN-LUC GODARD            La désintégration du cinéma français post-moderne se prépare lentement mais sûrement. Une révolution tire son nom du fait qu’elle vous revient toujours en pleine gueule. Là où la Nouvelle Vague est elle-même devenue aujourd’hui engoncée dans ces petits principes qu’elle montrait du doigt naguère, force est de constater que :

1. La Nouvelle Vague n’a jamais complètement disparu. Elle est devenue une source continue de revendications de la plupart des cinéastes français, prouvant par ailleurs qu’ils n’y ont jamais rien compris.

2. Le cinéma français n’est qu’un cinéma de classes et aucune révolution ne pourra jamais rien y changer.

3. En moyenne, 100 personnes chaque année s'étouffent à mort avec leurs stylos. Je ne l’invente pas, c’est statistique. Et jamais un réalisateur n’en fait partie. Que n’avez-vous jamais rêvé de lire : « Il croyait enfin détenir la recette miracle pour faire un bon film, mais la Grande Faucheuse en a décidé autrement. Hier soir, Jean-Jacques Annaud est décédé dans d’atroces souffrances, en gobant le capuchon de son Bic, sur un coup de tête » ? (C’est surtout « dans d’atroces souffrances » qui fait rêver !)

Non, la Nouvelle Vague n’a pas été un écho de la voix du grand Démiurge rédempteur et mesuré.

Ce ne fut que le dogme tyrannique d’une mode qui a laissé une empreinte indélébile, devenue sacrée à partir du moment où ses bienfaits ont commencé à se faire sentir. Et cette sacralisation a mené tout droit à l’envelopper d’un suaire liturgique, érigé comme le sont tous ceux que l’on recoupe sous la dénomination de « classiques ». Comme le font ceux qui croient que le respect dû à Molière se trouve dans l’icône glorifiée du classique qu’il est devenu. Ce sont les mêmes qui ne peuvent souffrir qu’une mise en scène figée, dans des costumes forcément d’époque. Quelle bêtise ! Molière faisait jouer ses pièces dans ces costumes parce que c’était la manière de s’habiller à cette époque. (Dis papa, c’est vrai que Brigitte Lahaie elle a toujours tourné en costume d’époque ?) Ce qui serait plus intéressant serait de savoir comment ses personnages s’habilleraient aujourd’hui.

Finalement, la Nouvelle Vague est au cinéma français ce que Sigmund Freud est à la psychanalyse.

JACQUES RIVETTEUn apport indéniable qui contraint au respect, une vision novatrice et transcendantale, mais une certaine idéologie constamment rattrapée par ses propres limites : les œillères de la réciprocité. Car le cinéma n’a jamais pu être la Nouvelle Vague, comme la psychanalyse n’a jamais pu être Sigmund Freud. C’est, une fois que chacun eut vécu son heure de gloire, ce que le phénomène de mode nous révéla. Sorti de sa période d’exposition mondiale, la Nouvelle Vague peina terriblement à se renouveler. Toutes ses idées furent reprises les unes après les autres sous forme d’alibi déculpabilisant, mais aucune ne fut garante du nouvel ordre qu’elles étaient censées authentifier. C’est ce qui nous amène aujourd’hui à parler d’un cinéma français ultra-nombriliste, princier, vide de toute idée, décharné, vivant de ses reliques, miséreux. Chaque année nous avons droit au même quota de films pré-momifiés ou lyophilisés. Nous vivons une sorte de compromis entre un cinéma qui se considère comme le paternel de la Nouvelle Vague et qui cherche à se justifier par un morcellement composite de son esprit créatif. De cette manière, un semblant d’héritage se retrouve dans l’idée de filmer en dehors des studios, dans la longueur des plans ou dans un jeu en rupture avec la théâtralité d’avant la Nouvelle Vague. Malheureusement, l’essence même de ces procédés a été perdue chemin faisant. Tourner dans la rue n’a aujourd’hui plus aucune signification si ce n’est de respecter basiquement ce qui remplit les pages du script. La longueur de plans est peut-être ce qui a le plus fait de mal au cinéma français. Combien de fois nous arrive-t-il de crier à l’escroquerie d’un montage utilitaire ?! Dans les films de la Nouvelle Vague, si un plan dure ce n’est pas forcément parce que la production n’avait pas d’argent pour payer un monteur. Au contraire, même. C’est sûrement parce que le film fonctionnait sur plusieurs rythmes que, par exemple, BANDE A PART pouvait se prévaloir d'une scène en totale rupture avec sa quête, pour permettre au trio de danser sur une chanson. Uniquement danser ! Vous rendez-vous compte du luxe que s’est payé Godard ? Puisque nous parlons de BANDE A PART, il est étonnant de voir que c’est paradoxalement chez les cinéastes étrangers que la Nouvelle Vague a eu la plus belle répercussion. Chez Michael Bay ? Non, abruti d’italique ! Chez Tarantino, qui a repris exactement le procédé de Godard dans PULP FICTION, en faisant s’arrêter l’action et permettre ainsi à ses comédiens de danser. Je ne l’invente pas, tout le monde peut le vérifier.

JACQUES ROZIERDe nos jours, qu’avons-nous à nous mettre sous la dent ? Il faut bien l’avouer : pas grand-chose. Seule une poignée de films méritent d’être loués. Pour le reste, ce n’est que la sempiternelle rengaine du peu d’effort parce que peu d’idées. C’est constamment la même lumière terne, délavée, sans élégance. Aucun relief. La même valeur partout. Gris. Tout est gris. Et même pas de nuances dans le gris. Pourtant, c’est faisable. François Catonné nous avait bien épaté dans COMBIEN TU M’AIMES ? ou, encore plus récemment, Eric Gautier dans CŒURS. Et je ne vous parle par de la photographie de Benoît Debie dans INNOCENCE, qui a dynamité la valeur patron de la photographie pour un bon nombre d’années !

Nous pourrions continuer à établir une liste exhaustive, point par point, mais il vaut mieux s’appuyer sur un exemple précis pour étayer tant de médiocrité.

Je crois que J’INVENTE RIEN est le film qui symptomatise le mieux cette carence qualité. Ce n’est pas le pire qu’il nous ait été donné à voir, mais il se marie très bien à l’apathie française, syndrome post-Nouvelle Vague. Il représente l’idée préconçue que des producteurs entendent imposer à un public, le leur, celui qu’ils ont fabriqué. Une idée ancienne qui doit désormais composer avec l’héritage interprété de la Nouvelle Vague.

J’INVENTE RIEN c’est l’histoire d’un couple de citadins qui vivent dans une certaine idée de libéralisme libertaire. Sous couvert de la grande idée de liberté promise à celui qui désire vivre selon ses propres désirs, le couple nous offre un bel exemple scénaristique de démagogie uniforme. Là où la Nouvelle Vague s’interrogeait sur ladite liberté, elle est aujourd’hui devenue un complexe narcissique dénué d’approche métaphysique. Considérations héroïques des préoccupations standards de la vie quotidienne. Ce n’est ni plus ni moins que la continuité d’un cinéma bourgeois, fait par des bourgeois et pour des bourgeois. Dixit François Truffaut. Le cinéma français, ce n’est que ça. De petits retours sur des récits personnels d’origines variées, certes, mais diablement peu lyriques. Tout est petit et contemplatif. Tout sonne faux. Pas de place pour les accents toniques. Tout est calqué sur un mode d’appréciation, un barème selon lequel le public est sommé de réagir. En fait, écrire des scénarii, en France, c’est dessiner des personnages tels que nous croyons qu’ils sont. La justesse n’a aucune place dans ce cinéma.

Nous en étions déjà là avant la Nouvelle Vague et nous vérifions une nouvelle fois la précieuse vision du sage au long manteau blanc et à la barbe laineuse : « L’Histoire n’est qu’un éternel retour ».

PIERRE KASTScénaristiquement, les histoires ne se contente que de reprendre des schémas éprouvés, éculés, édentés. L’année dernière, VERS LE SUD, JEAN-PHILIPPE, CHANGEMENT D’ADRESSE, LA MAISON DU BONHEUR, FAUTEUILS D’ORCHESTRE, HORS DE PRIX, OUBLIER CHEYENNE, LA DOUBLURE, JE VOUS TROUVE TRES BEAU, CAMPING, ESSAYE-MOI, RIVIERA, HELL, CELIBATAIRES, etc. ont été maculés d’histoires d’amour contrariées, avec des personnes qui veulent toujours plus et toujours mieux, et ce indépendamment des genres abordés. L’idée n’est pas de diaboliser les sujets, loin de là. J’ai toujours dit ici qu’aucun sujet n’est indigne d’être traité cinématographiquement. Je constate juste qu’il n’y a tout simplement aucune velléité de se démarquer, jusque dans la forme. Le scénario reste encore la pièce maîtresse de l’élaboration d’un film. En France, 99,37% des films sont des films de scénario. Et ils sont invariablement tous construits selon la règle des 3 unités : thèse, antithèse, synthèse. Qui s’accompagne généralement de l’épiloque « foutaise ». Dans J’INVENTE RIEN, c’est :

Thèse : je t’aime.

Antithèse : je ne t’aime plus, y’a un énorme problème (ton cul ?)

Synthèse : non, finalement je t’aime de nouveau. En fait, je n’avais pas bien réfléchi.

Foutaise : Putain, mais on ne peut pas s’aimer tranquillement dans ce monde de merde où tout le monde vient nous faire chier toutes les cinq minutes ?

Affligeante banalité d’une histoire rabâchée mainte fois. Vous remarquerez l’emploi de termes grossiers genre « merde » ou « chier », censés illustrer le réalisme poétique. Et comme le film est complètement bourgeois mais ne veut pas laisser paraître son appartenance (eh oui, il faut bien que la Nouvelle Vague ait servi à quelque chose !), il est de bon ton de tenir un discours radicalement bobo, qui ratisse un maximum dans les grandes idées utopiques de gauche. Et nous sommes repartis pour un couplet sur le fascisme de ceux qui montrent du doigt toute personne qui ne rentre pas dans les cases de la norme sociétale. Et c’est bien connu, ce sont tous des enculés, ceux qui profitent du capitalisme. Babillage. Pourquoi ce besoin d’imposer son personnage principal comme une victime du monde moderne en constante rébellion avec ce monde si cruel et si déshumanisant qui n’a qu’une idée : la perte du protagoniste ? Cela pourrait se résumer au simple slogan : « Mais pourquoi sont-ils si méchants ? » Vous l’aurez compris, c’est là une vision du monde simpliste et caricaturale.

Et c’est bien ici que se joue le cœur du problème, car si nous avons à faire à un film de scénario, nous sommes quand même en droit d’attendre un calque en complète harmonie avec la vie réelle dont on prétend nous dresser le cadre.

FRANCOIS TRUFFAUTC’est au niveau de la mise en scène que nous pouvons repérer le manque total d’aisance artistique. Comme le cinéma français est un cinéma de scénario, il ne peut en être autrement que de metteurs en scène qui se contentent de remplir un cadre. Evidemment, puisque le scénario est la clef de voûte de toute l’organisation ! Et tout à coup, c’est le drame. Parce que si la Nouvelle Vague obéissait à certaines règles fondamentales, les années ont passé en balisant le terrain d’un sillon assez profond pour que subsiste encore l’idée d’une révolution. Mais, à l’heure actuelle, s’est transmise l’idée d’un acquis sans source intelligible ; tout comme l’on se dispute et à force l’on oublie le sujet de la dispute. Rappelez-vous les beaux efforts que Godard et consorts avaient mis en branle (comme disait la jeune mariée) en ce qui concerne la continuité narrative. Tout cela semble passéiste et dénué d’intérêt. Ils sont pourtant quelques-uns à déconstruire la forme conformiste de la plupart des scénarii. Mais 99,37% des scénaristes sont revenus aux 3 unités précitées. Quel académisme rébarbatif et installé dans le confort d’une idée de la France ! Je crois que c’est cela le pire. Ce stéréotype de personnages conçus dans des bureaux. Mais les vraies personnes que nous croisons chaque jour sont tout de même plus proches de ceux que nous croisions naguère dans LA MAMAN ET LA PUTAIN ou LA GUEULE OUVERTE (tiens, un cinéaste qui ne s’est jamais réclamé du mouvement ! Comme quoi, c’est faisable !) C’est une conception hypocrite et mensongère, complètement en dehors de la réalité. Dur à avaler pour des personnes qui n’ont que « réalisme » ou « naturalisme » à la bouche.

Dès le début de J’INVENTE RIEN, ce qui nous frappe c’est cette musique sans envergure, petit phénomène révélateur de la comédie légère qui s’annonce. L’art de nous vendre un film sans foi. Tendance exacerbée du pensum cinématographique. Et tout est du même acabit. Pas un seul plan qui révèle une consistance de mise en scène. La caméra se contente de délimiter les zones nécessaires à l’action. Vous repasserez pour la cerise sur le gâteau. Being weird isn’t enough. Michel Leclerc s’est embourbé dès sa première réalisation dans les méandres apocalyptiques du Consortium des Laxatifs du Cinéma. J’ai lu quelque part que le C.L.C. allait mener des expériences de laboratoire sur Alexandre Arcady, Lars Von Trier et Ridley Scott. Enfin des réalisateurs qui vont pouvoir servir à quelque chose ! Avec J’INVENTE RIEN, jamais un titre n’aura été aussi proche de l’analyse comportementale du cinéma français.

Sclérose administrative et lourdeur de l’enveloppe spirituelle.

Et si certains succès reposent sur des développements scénaristiques, J’INVENTE RIEN ne peut s’appuyer que sur l’interprétation d’Elsa Zylberstein, l’une de nos plus grandes actrices. Elle exploite tout son côté sensible, tiraillée par ses questionnements. Elle est à l’origine de nombreuses modulations de jeu qui restent à la fois extrêmement naturelles et sublimement convaincantes. JEAN ROUCHChaque regard en dit bien plus que la banalité des phrases qui lui ont été écrites. Son jeu est fluide, précis, charismatique et enjôleur. Elle sait créer une intimité de couple dans les mots qu’elle susurre, les phrases qu’elle ironise, les sourires sous forme de jeux et une multitude de facettes dont elle enrichit son personnage, faute de pouvoir être perçues dans le scénario. Chacune de ses apparitions est un moment de détente et d’apaisement des tensions cinématographiques. Face à elle, Kad Merad ne parvient pas à sublimer son peu de technique. Exemple type du comédien qui essaie de paraître naturel pour rentabiliser le parti pris « comme dans la vie ». Il manque de charisme (mais ça, ce n’est pas quelque chose qui lui est imputable) et de technique (quelle horreur que la mollesse de cette prononciation tant chérie par nous, français ; des finales qui tombent comme giboulées en mars ; une uniformité dans l’interprétation du personnage qui enlève toute complexité, donc toute richesse du rôle…).

Des films comme J’INVENTE RIEN, il en sort des dizaines chaque année. Mais comme l’Histoire est un éternel recommencement, il est aisé de dire qu’un phénomène comme la Nouvelle Vague resurgira à un moment ou à un autre, afin de rudoyer cette malheureuse solennité. Reste à savoir quelle forme cela prendra. De toute façon, il y a toujours eu des résistants, et même si l’on a voulu imposer une nouvelle Nouvelle Vague dès la fin des années 80, elle n’a jamais répondu qu’à une attente qui grossit d’année en année, et non pas à un quelconque critère cinématographique. Il faudra d’abord passer par une réorganisation complète des systèmes de production. C’est avec quoi chaque déviant a dû composer pour mener à bien une œuvre en décalage complet. Cependant, les clans sont présents. Il suffit de regarder les films qui ont bousculé le paysage cinématographique français des 10 dernières années. IRREVERSIBLE et ASSASSIN(S) (le dernier grand film ambitieux français) en sont les meilleurs exemples. Des films qui n’auraient jamais dû exister, et pourtant… Il suffit aussi de fouiner sur Internet et de s’apercevoir de la rupture qui est en train de s’opérer entre les tenants de l’ancien cinéma et ceux qui sont actuellement en phase de recherche, dans le désir le plus fervent de dynamiter ce conformisme (critiques, cinéastes et spectateurs).

L’émulation au service de l’imagination artistique.

Plus diffus ? Plus agressif ? Plus définitif ? Plus long que prévu à émerger ?… Il est trop matin pour se prononcer. Et peu importe, la véritable question ne se situe pas ici. Elle se réduit à un constat implacable : « Ne sommes-nous pas assez érudits pour ne pas avoir de réalisateurs en réaction ? »

Vous voyez bien, tout reste à inventer.

commentaires

M
TANT MIEUX, CHER CHRISTIAN, CAR J'ADORE L'ECRIRE !
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C
Très bon papier sur l'état du cinéma français cher Maydrick !<br /> Et continue à me faire rire avec des commentaires comme :<br /> "Hier soir, Jean-Jacques Annaud est décédé dans d’atroces souffrances, en gobant le capuchon de son Bic, sur un coup de tête » ? (C’est surtout « dans d’atroces souffrances » qui fait rêver !)"<br /> J'adore ça !<br />  
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M
VOUS AVEZ TOUT A FAIT RAISON, MAITRE JACQUES. JE VAIS M'EMPRESSER DE CORRIGER CETTE BEVUG.
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J
1. La Nouvelle Vague n’a jamais complètement disparue.<br /> NON. On peut écrire "disparu" ou à la rigueur "disparug". Mais pas "disparue".<br /> Jacques Tanvier<br />  
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